Gagner du charme et du charisme


GUIDE DU CHARMEUR AVERTI :
-Être sincère, ne pas mentir, dire la vérité, être vrai, ne pas inventer de fausses histoires ou choses sur soi, des plus petits détails aux plus gros ! Ça se ressent et vous pouvez vous contredire sans même vous en rendre compte, et surtout vous trahir longtemps après alors que vous aviez oublié ce petit mensonge, mais la personne qui l'a entendu ne l'a pas oublié. On retient plus facilement ce que nous disent les autres que ce que l'on dit. Le mensonge est un investissement court-terme qui finit souvent par vous rattraper : les investissements long-terme sont ceux qui vous apporteront le plus de satisfaction malgré leur difficile mise en place au début.
-Connaître sa valeur, en gros arrêter de se prendre pour un con qui n'est capable de rien, arrêter de se dire que vous êtes moins bon que tout le monde, moins beau, moins intelligent, aimez-vous, tout en restant ouvert à l'altérité, être conscient qu'on peut apprendre de tout le monde et qu'on ne dispose d'aucune vérité concrète. Acceptez que vous ne pouvez pas être tout le temps le meilleur et que ça ne veut pas dire que vous êtes moins intelligent. Reconnaissez les victoires des autres en les congratulant sans oublier que, de votre côté, vous pourrez toujours progresser car il s'agit surtout des efforts que vous investissez (une chose que personne ne voit) dans tel ou tel domaine. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la très grande majorité des gens sont loin d'être "cons".
Vous pouvez changer la perception que vous avez de vous-même, vraiment.
Si vous vous voyez comme quelqu'un de timide, peu sûr, stupide, vous agirez comme tel. Demandez-vous pourquoi vous avez cette perception là et agissez pour redéfinir l'arbre jusqu'à la racine. C'est en agissant, en prenant des décisions concrètes, que vous parviendrez à redéfinir votre confiance (je rediscuterai de la confiance plus bas). Lancez vous dans des projets, faites du sport, mettez fin à certaines mauvaises habitudes, et ce malgré la peur d'échouer qui habite tout le monde !
-Se débarrasser de la "crasse". Finalement, être "soi-même", ça veut surtout dire mettre à la poubelle les conceptions négatives que vous avez de vous-même. Si vous vous voyez comme quelqu'un de peu sûr de lui et de fragile, je le répète, vous agirez comme tel, vous marcherez comme tel, vous parlerez comme tel. Je suis le premier à sourire quand on me dit "sois toi-même" : ok mais ça veut dire quoi être soi-même ? Comment je fais pour devenir moi-même ? C'est qui ce moi-même ? Peut-être qu'être moi-même, c'est être une victime ? Non, la formulation est mauvaise. Tu ne deviens pas "toi-même" en appuyant sur un bouton. Vous devez redéfinir la façon dont vous vous percevez, et ça prend du temps, ça demande des efforts, de la volonté, des tentatives, des échecs, des réussites, des échecs, etc. Pour autant, ça ne veut pas dire que vous n'êtes pas vous-même. Vous n'êtes pas à l'aise à l'oral devant un groupe ? Acceptez cette sensation désagréable et jouez la personne confiante, sûre d'elle, parlez clairement, articulez, contrôlez vos gestes, faites des petites blagues, ironisez sur votre mauvaise prononciation d'un mot : affrontez la situation, réaffrontez là encore, acceptez l'échec et mettez votre fierté de côté, ça fera mal, encore mal et vous allez progressivement vous débarrasser de cette crasse qui vous empêche d'avancer. Votre démarche reste sincère, c'est à votre avantage et celui de votre/vos interlocuteurs. En date ou en entretien d'embauche, avec ce comportement, ça ne veut pas dire que vous n'êtes pas "vous-même" ou honnête, personne n'est vraiment soi-même en agissant comme quelqu'un d'incertain et de timide, et si vous avez conscience que ces traits de caractère n'en sont pas, vous apprendrez rapidement, en vous rendant compte des résultats, que vous pouvez avoir confiance en vous. On est soit-même quand on est avec des amis car on est à l'aise avec eux, parce que le "regard des autres" n'est plus un soucis. David Lynch a dit « Le monde est comme vous êtes. » Le regard des autres sur vous est avant tout une projection de vos propres jugements et de votre système de valeurs. Débarrassez-vous de ces conceptions pré-établies en agissant : en essayant, en considérant les échecs comme des leçons à apprendre, en prenant conscience de vos qualités, en cherchant à comprendre avant de juger. Honnêtement, la chose qui m'a le plus aidé pour ça, c'est de lire de la philosophie, de la psychologie, et de la sociologie. Comprenez le monde autour de vous et vous serez beaucoup plus à l'aise dedans. C'est de cette manière que vous vous débarrasserez de cette "crasse", de ce poids qui, donc, vous empêche de vous libérer, d'être "vous-même". Vous voyez ce que je veux dire ? Oui ? Non ? Ça va ? C'est un peu le foutoir, mais je pense que vous cernez l'idée.
-"Fake it until you make it" ? Beaucoup sont gênés par les silences, que ça soit en groupe ou dans un covoiturage, peu importe, et vont se forcer à les combler. Cela va juste montrer que vous n'êtes pas à l'aise avec ça, et avec vous-même. Même s'il n'y a pas de silence, ne participez pas juste dans le but de participer. Une intervention pertinente est parfois beaucoup plus marquante qu'un flot continu de paroles sans âme. Pour autant, si vous avez envie de parler même si ce n'est pas « pertinent », allez-y. Ce qu'il faut retenir ici, c'est le fait de se forcer ; si vous vous dites, dans une situation donnée, que c'est tel ou tel comportement qu'il faut avoir, faites marche arrière. Ce point là ne contredit pas le précédent, il faut bien faire la différence entre se libérer d'un poids, d'une crasse, qui vous empêche de faire quelque chose, et faire semblant de participer, de s'intéresser à quelqu'un juste parce que vous n'êtes pas à l'aise dans un blanc, ou agir comme le riche bad boy de "je ne sais quel film" par peur d'assumer ce que vous êtes vraiment parce qu'à ce moment, c'est votre ego qui parle, votre crainte du regard des autres. Développer sa sociabilité, son aisance sociale, c'est justement apprendre à se connaître d'abord, puis à connaître l'autre, c'est un peu comme apprendre un instrument. Cela ne veut pas dire que vous n'êtes pas sincère ! Dans le cas d'une présentation orale, vous n'avez pas le choix, vous devez présenter ce projet devant un groupe, alors autant le faire de la meilleure manière possible et pas en bégayant ! Laissez vous bercer par le flot de vos envies, du mood ambiant. C'est ça oublier le regard des autres, ce qu'ils pensent de vous n'est pas si important. Plus vous serez détachés, plus cette "crasse" paralysante ou parfois, surexcitante, disparaîtra. Le "fake it until you make it", c'est écouter vos désirs en utilisant les nouveaux accords que vous avez appris pour votre instrument. Vous voulez vraiment parler à cette fille/garçon mais vous ne savez pas trop comment vous y prendre ? Fake it until you make it ! Approchez vous d'elle/ de lui en tentant une blague, en souriant, même si vous vous chiez dessus à l'intérieur.
Vous avez envie de vous faire des amis dans votre promo mais vous n'avez jamais fait l'effort de lancer une discussion à cause de votre timidité ? Fake it until you make it ! Mettez en pratique les conseils que vous avez lu sur internet !
Vous n'avez pas envie de parler mais vous trouvez le silence trop gênant ? Fake it until you make it ! Ne vous forcez pas, faites semblant d'être à l'aise avec ça et vous verrez que ce n'est pas si horrible que ça.
Je le répète, ne mentez pas sur ce que vous êtes, n'essayez pas de vous faire passer pour un riche entrepreneur alors que vous êtes un salarié dans l'espoir d'en devenir un. Ce n'est pas ça que j'entends par "fake it until you make it" que je considère plus comme "persevere until you make it" dans les petites choses de la vie quotidienne. On en revient au premier point de ce guide : vos mensonges finissent souvent pas vous rattraper. Le "fake it until you make it", c'est se redécouvrir en lavant la crasse non-nécessaire à votre bien être.
-Arrêter de s'excuser pour tout et rien à la fois, de se diminuer constamment. Parfois quand je marche dans la rue, il arrive qu'une personne croise ma trajectoire et s'excuse parce que la fameuse scène de l'évitement à gauche, puis à droite, puis à nouveau à gauche, a lieu. Excusez-vous seulement pour les choses qui en valent la peine, pas celles pour lesquelles vous n'êtes pas responsable. Aussi quand vous faites une erreur, arrêtez de dire à haute voix que vous êtes « con», « stupide », etc. Exemple : « Ah oui merde, je suis trop con » ; un simple « zut » suffit. Arrêtez de vous dévaloriser devant les autres, de leur dire que vous êtes nul, d'être « désolé » parce que, je ne sais pas, vous bloquiez le chemin de quelqu'un sans l'avoir vu arriver.
-Être autonome. Qu'il s'agisse de vous ou de quelqu'un d'autre, je suis sûr que vous connaissez une personne qui cherche constamment l'accord des autres, qui suit le groupe et qui est terrifiée à l'idée d'être rejetée, d'être moquée ou d’avoir un avis différent. Soyez conscient des rapports de domination qui peuvent exister dans vos relations, amicales ou non. Laissez-vous guider vous-même. La dernière fois, j'étais à une caisse bondée avec un ami derrière moi et il m'a d'abord demandé « je vais à l'autre caisse ? » parce que celle d'à côté venait d'ouvrir. Qui suis-je pour lui répondre autre chose que « tu fais ce que tu veux, t'es un grand garçon » ? Ne craigniez pas de prendre des décisions par vous-même sans forcément prévenir votre entourage ou de leur demander leur avis (si celles-ci ne les impactent pas négativement évidemment). Arrêtez de vous justifier constamment, de montrer que le jugement des autres est important pour vous. Vous voulez vous lancer dans quelque chose ? Faites-le, et ne demandez pas l'opinion des autres avant pour vous rassurer : si j'avais écouté toutes les personnes qui ne croyaient pas en mes capacités lorsque je leur parlais d'un projet, je n'aurais jamais rien produit de qualitatif.
-Être à l'aise avec son corps, ses mouvements > mouvements fluides, se tenir droit, épaules en arrière, tête haute, marchez comme si le monde vous appartenait, sans être recroquevillé, et bien sûr sans exagérer les traits, vous n'avez pas envie de montrer que c'est vous le plus fort, juste que vous êtes à l'aise avec votre corps et votre environnement. Si vous voulez croiser les jambes, faites-le.
-Arrêtez de vous plaindre ! C'est très repoussant...
-Ne pas espérer séduire tout le monde, il faut trouver ceux avec qui ça passe naturellement. Tout le monde ne nous plaît pas et à l'inverse, on ne peut pas plaire à tout le monde. Autant jouer la carte de la sincérité sur ce qu'on est, ça évite les mauvaises surprises et c'est beaucoup plus confortable et agréable de vivre dans cet état d'esprit. Assumez vos « déviances », ce qui vous différencie des autres, ne soyez pas impersonnel. Une vache rouge dans un troupeau de vaches noires se remarque très facilement. La mise en avant de vos aspérités et bizarreries vous offre une chance de connecter de façon profonde avec les quelques personnes qui adorent ces traits de personnalité…
-Pas faire le needy, ex : pas suivre son crush tout le temps (en soirée par exemple), arrêter de rechercher son attention. Il faut faire comme si c'était un(e) pote en restant soi même. Permet d'être plus à l'aise parce qu'on ne cache rien, et ça évite que la personne soit déçue après lorsque vous serez vraiment à l'aise avec. Fonctionne que ça soit un crush ou non, ne recherchez pas l'attention des personnes dont vous désirez profondément la validation. Si quelqu'un vous attire sans que vous ne le connaissiez vraiment, plutôt que de vous dire « est-ce qu'il va m'apprécier ? », dites vous « est-ce que je vais l'apprécier ? » et que, de toute façon, vous serez capable de passer à autre chose si une suite n'est pas donnée à la relation.
-Apprécier le risque. En terme de séduction, vous l'avez déjà remarqué pour les hommes : s'ils attendent que les femmes fassent le premier pas, ils risquent de patienter longtemps. Toute approche implique une part potentielle de rejet, et celui-ci est aussi vécu par les filles. Apprenez le plus tôt possible à affronter le rejet en face et à le regarder droit dans les yeux. Vous pouvez provoquer par exemple une rencontre tout en sachant que vous allez la « perdre ». Encaisser sereinement la situation est un sentiment libérateur et reste le meilleur moyen d’apprendre. Cela vaut pour toutes les situations ou un risque est pris. Apprenez à prendre dans la gueule. C’est un sentiment désagréable mais il vous fera grandir, il vous forgera. Plus vous apprendrez à prendre des risques, plus vous serez détachés et plus vous serez séduisant. Finalement, apprécier le risque, c'est percer un gros bouton : ça fait mal au début, c'est désagréable, après ça coule, c'est toujours douloureux mais ça va mieux , puis à la fin il disparaît (si vous forcez pas comme un bourrin dessus évidemment) et ne vous fait plus mal.
-Être audacieux dans ce qu'on dévoile (sexualité ou autre/expérience perso peu importe le sujet) / ne pas se brider sur un sujet juste parce que c'est un peu tabou ou parce que vous pourriez passer pour quelqu'un de bizarre > c'est l'une des meilleures façons de trouver des personnes réceptives à votre personnalité et ouvertes d'esprit. Évidemment, dire que vous êtes un psychopathe nécrophile risquerait d'effrayer... à vous donc d'évaluer la bonne frontière entre psychopathie et ouverture d'esprit.
-Montrer qu'on a des émotions/ de la vulnérabilité > Dévoilez vos erreurs, dire si telle ou telle chose vous a affecté, arrêtez de faire le mâle alpha invulnérable et acceptez cette part de féminité que l'on a tous en nous. Si ce sujet vous intéresse, je vous conseille de vous renseigner sur l'anima et l'animus, deux concepts inventés par Carl Jung qui définissent la part féminine chez les hommes et la part masculine chez les femmes.
-Rire des défauts que vous ne parviendrez jamais à changer. Repensez à la dernière fois où quelqu'un s'est moqué de son propre nez, de ses oreilles décollées ou de son visage pas vraiment symétrique : à moins que vous ne soyez très immature, vous ne vous êtes pas moqué de lui mais avez plutôt ri avec en vous disant, inconsciemment ou consciemment, que cette personne avait confiance en elle, qu'elle savait rire d'elle-même. S'entraîner à haute voix devant la glace en riant de façon bienveillante de vos défauts peut être efficace. Essayez vraiment de supprimer tous ces réflexes qui vous font cacher les détails de votre corps que vous n'assumez pas, comme fermer la bouche en souriant parce que vous dépréciez votre sourire. Bref, si vous acceptez vos défauts en sachant rire d'eux, en les assumant, personne ne pourra vous faire du mal avec. Au contraire, vous envoyez le signal qu'ils ne vous bloquent pas et renforcez votre image, c'est d'autant plus séduisant.
-Ne pas se la péter, ne pas dire des choses juste pour se montrer / si la personne le découvre par elle-même = meilleur effet. Évitez de vous dire « je dois absolument lui dire ou montrer ça sur moi. » Laissez la conversation vous mener, n'essayez pas de l'amener dans une direction juste pour prouver un point sur vous. Ex : Dites que vous faites de la guitare si on vous le demande ou si votre expérience personnelle dans ce domaine peut être pertinente pour expliciter/justifier un point dans une discussion par exemple. Les gens ont tellement envie de montrer leurs succès, ce dont ils sont capables, ce qu'ils sont, qu'ils en oublient cette part de mystère qui peut être très attractive. C'est un comportement humble, l'humilité est attirante. Si la personne apprend en le voyant que vous êtes capable de faire de la guitare alors qu'elle vous connaît depuis quelques temps déjà, elle sera surprise dans le bon sens. Gardez vos exploits pour vous. Vous n'avez besoin de rien prouver, car vous avez confiance en vous. Évidemment, ne soyez pas non plus un bouclier qui ne dévoile rien de lui. On en vient directement aux points suivants :
-Le but, c'est de découvrir la personne, de trouver son identité. Idéalement, partager des aspects de soi l'encouragera à partager des aspects d'elle / ça établi une confiance, c'est agréable de se dévoiler.
-Créer une connexion émotionnelle. Dites pourquoi vous aimez quelque chose sur le plan émotionnel, ne dites pas juste "j'aime les pâtes carbo" : racontez l'histoire derrière votre amour des pâtes carbo ! La séduction c'est une affaire de sentiments, pas de faits. Montrer qu'il y a un être-humain là-dedans qui ressent et comprend ses émotions, pas juste un robot qui subit la vie.
-S'intéresser à tout le monde, même si vous n'avez pas d'intérêts envers la personne, que vous ne voulez pas la séduire. Souvent, c'est la réputation que vous font les gens qui joue le plus. Soyez curieux, ayez envie d'apprendre. Si vraiment ça vous emmerde de discuter avec quelqu'un, ne le faites pas ; en général ça se perçoit. Pour lancer une conversation avec quelqu'un que vous ne connaissez pas, lancez des petites phrases bêtes, des remarques, ironisez sur telle ou telle situation, etc, n'importe où, posez des questions. Faites-le si l'envie est là mais que vous ne savez comment vraiment vous y prendre pour lancer la conversation. Les gens demandent à communiquer, à créer du lien, l'approche n'est pas si importante que ça.
-Toujours écouter plus que de parler, ne pas couper la personne, la laisser finir son idée et retirez tout préjugé que vous avez sur elle sans rien espérer de la rencontre > c'est un état d'esprit. Qui n'a jamais eu cette envie pressante de couper la parole à son interlocuteur pour lui faire part d'une expérience similaire qu'il aurait vécue ? De finir sa phrase avant qu'il ne l'ait fini ? Ou encore fait mine d'écouter, ponctuant sa part de dialogue de "Mmmm", "oui, certainement", etc. ?
Vous pouvez quand même intervenir dans l'écoute, c'est l'écoute active > montrez que vous écoutez votre interlocuteur en rebondissant sur ce qu'il dit par la reformulation de ses mots par exemple. Les redire avec les vôtres permet de vous assurer d'une part, que vous avez bien compris ce qu'il vous a dit et d'autre part, de lui montrer que vous avez entendu et intégré le message qu'il vous a transmis. Aussi, montrez que ce que vous raconte la personne vous intéresse en manifestant des émotions (souriez, etc) ou en lui posant des questions pour qu'elle approfondisse son propos. Souvenez-vous quand vous étiez petit à quel point il était réconfortant, agréable, lorsque nos parents nous écoutaient, nous encourageaient ou nous donnaient leur épaule pour pleurer !
BREF, fermez-la un peu et soyez disponible, curieux, c'est peut-être l'un des points les plus importants de cette liste.
-Poser des questions, personnelles / question ouvertes, pas fermées > Qu'est ce que t'en as pensé ? Qu'est ce que ça t'a fait ressentir ? Qu'est ce que t'as préféré ? Pourquoi ceci cela etc quelque chose qui l'amène à donner son opinion, donc pas des questions de qcm à la chaîne auxquelles on ne peut répondre que par « oui » , « non » , « bleu », « jaune », etc, ces questions là doivent juste servir la discussion, l'amener vers ces questions plus ouvertes. Une rencontre ne devrait pas être un interrogatoire, vous êtes là pour passer un bon moment.
En gros quelque chose qui vous permet de découvrir son identité, ce qu'elle est, qui n'apparaît pas au premier abord.
Ça peut aussi être des questions fun > Quelle est la chose à laquelle tu ne peux pas dire non ? Quel talent as-tu qui pourrait m'impressionner ?
-Le eye contact ! Regarder la personne droit dans les yeux quand elle s'exprime, ça montre que vous avez confiance en vous ainsi que de l'intérêt envers ce qu'elle dit et ce qu'elle est. Évitez quand même de la fixer comme un psychopathe, il faut briser le contact par moment, c'est une question de dosage.
-Répéter le nom de l'interlocuteur à certains moments de la conversation > notre nom est l'un des plus doux sons que l'on puisse entendre. Faites-le en posant une question personnelle par exemple ou en faisant un compliment, une remarque etc., à vous de voir selon les circonstances (ne pas le faire constamment évidemment). Pourquoi ? Parce que ça montre que vous respectez votre interlocuteur, que vous le considérez, qu'il est votre égal.
-Avoir des contacts physiques subtils> S’il y a enjeu de séduction par exemple, prenez la main de la personne pour la bouger d'un endroit à un autre, ou la toucher derrière le dos rapidement. Aussi touchez quelques secondes son avant-bras pour appuyer un point dans une discussion quand vous êtes tous les deux en confiance. Ne le faites pas trop, une seule fois peut suffire, sinon vous passez pour un gros lourd, c'est trop explicite, voir intrusif. Pourquoi ? Pour les mêmes raisons, plus ou moins, que le point précédent sauf qu'ici vous intégrez une nouvelle intimité : deux individus qui se touchent sont en confiance l'un l'autre, vous montrez que vous vous sentez proche de cette personne, qu'il y a une connexion entre vous.
-Sourire ! Transmettre du positif ! Je crois que j'ai pas besoin d'en dire plus.
-Garder son calme, se maîtriser. Si vous êtes à l'opposé sur un sujet, dites que vous n'êtes pas d'accord, mais ne jamais montrer de mépris envers son opinion ou envers un groupe qui s'identifie à cette opinion, essayez de comprendre, de demander pourquoi, mais aussi de trouver des terrains d'entente, de trouver des points d'accord, et ensuite d'apporter vos arguments, toujours calmement et en gardant à l'esprit qui vous pourriez avoir tort (même si vous êtes 100% sûr de ce que vous dites, gardez ce principe en tête). Il ne faut jamais essayer de forcer l’opinion de la personne, il faut lui parler de façon amical. Dès que vous sentez cette colère monter en vous, prenez un moment pour souffler et vous dire "ok, est-ce que je ferais pas mieux de calmer ma voix, et ne pas m'attaquer à son identité". Même si elle ne le fait pas, inutile de s'énerver, toujours rester calme. Admettre ses erreurs permet aussi à l’autre de mieux prendre une critique. Sinon, passez à autre chose... Si elle ne vous respecte pas parce que vous ne tombez pas d'accord, alors tant pis, laissez passer. Certaines personnes ne peuvent juste tout simplement pas se détacher de leur ego, leur identité étant reliée à l'image qu'elles veulent renvoyer (ex : une personne intelligente et sûre d'elle, une chose que l'on ne pourra jamais vraiment se prouver). C'est parfois très dur de ne pas s'énerver, j'ai moi-même souvent du mal à respecter cette règle, mais il faut avoir conscience que le calme est le meilleur comportement à avoir. Respectez l'autre, mais ne laissez jamais tomber vos convictions seulement dans le but de séduire.
Pour autant vous êtes un être-humain, il y a des colères saines. Ne craignez pas d'exprimer de temps à autre votre énervement, votre frustration. À vous de voir selon la situation si votre colère est justifiée. Sachez vous défendre sans pour autant partir dans l’excès. En couple par exemple, il faut parfois savoir montrer sa « force ». Dans une simple discussion avec une personne que vous ne connaissez pas ou alors que vous connaissez mais dont le cadre du sujet discuté ne concerne pas votre relation, vos rapports directs, il est souvent vain de s'énerver car il n'est justement pas question de votre relation avec elle, seulement d'une opinion, d'une vision encore trop partielle d'un sujet (politique ou autre) qui sera mieux construite calmement, qu'il s'agisse de la sienne ou de la vôtre (valable pour les relations de groupe aussi). Une dispute dans une relation (amical, familial ou de couple) permet parfois de repartir sur des bases saines, de remettre les compteurs à 0. La communication et la logique pure ne fonctionne pas toujours, il arrive que le problème soit plus profond. Pour résumer, sachez distinguer les colères liées directement à votre relation avec la personne, et celles seulement basées sur une différence d'opinion externe à la relation.
-Faire du Storytelling, raconter des histoires avec un début, milieu, fin, rebondissement etc > ça transmet de l'émotion. Mettez-y l'énergie. Il y a pas mal d'informations sur internet à ce sujet. Concrètement, le storytelling, c'est faire passer les émotions du spectateur de haut en bas, de faire monter le suspens puis d'amener toute la construction de votre histoire vers une chute. Une bonne histoire n'a pas besoin d'être ultra complexe ou longue non plus. Allez juste au concret, Le seigneur des anneaux est une très bonne histoire mais elle demande beaucoup d'investissement de la part du spectateur. Il y a une situation initiale (je marchais tranquillement dans la rue chercher mon pain après avoir longuement hésité à sortir, en plus j'étais pas très propre), un élément perturbateur (quand tout à coup, un chien me saute dessus, c'était celui d'une amie d'enfance), des péripéties (j'ai papauté avec elle un peu, finalement on s'est revu une fois pour un verre, c'était top mais on a pas pu se revoir car on devait voyager chacun de notre côté à cause du travail : là-bas, il y a le mal du pays, c'est la déprime, le travail est dur, c'est long), un dénouement final (mais il s'avère qu'on partait dans le même pays sans le savoir l'un l'autre, on s'est recroisé là-bas après plusieurs semaines de dur travail : j'ai une nouvelle chance de mieux la connaître !) et une situation finale (on s'est mis en couple, on est rentré en France, c'est la fête, tout fini bien c bo). À vous d'y mettre la forme, de l'humour, de l'énergie ! Certes, on n'est pas sur de la narration shakespearienne mais c'est beaucoup plus fort et captivant qu'un "oh on s'est juste recroisé dans ce pays et puis voilà on s'est bien entendu…"
-Faire de l'humour (sarcasme, ironie, jeu de mots, exagération, etc), mais éviter de trop en faire. Éviter aussi les blagues de cul trop grasses ou vulgaires ; non que blaguer sur le cul ne marche pas, mais préférez rester subtile, pas grossier. Aussi, ne pas tourner tout ce que la personne dit en dérision, surtout quand elle parle de sujets personnels, qu'elle se confie sur ce qui la touche. En phase de séduction, ne pas hésiter à envoyer des piques gentils > si un truc chez vous l’énerve un peu, faire des blagues dessus, pousser ce trait-là exprès, ça la fera rire et surtout ça lui fera comprendre que vous n'êtes pas le genre de personne qui va se transformer pour plaire, donc que vous connaissez votre valeur. Ex : Si elle vous fait une réflexion sur le fait que vous êtes radin, vous dites : « Tu me paies un verre ? Parce que j’ai très envie d’en boire un avec toi mais je suis trop radin pour le faire moi » etc.
Sortez certaines choses de leur contexte > un petit ours en peluche avec un cœur dans la main devient un petit ourson abandonnée ayant une maladie grave le forçant à vivre avec son cœur hors de son corps. Quand vous notez un détail sur un objet ou une personne, inventez leur une histoire absurde hors contexte ! Aussi, être spécifique dans les détails de votre blague/histoire est efficace > ne dites pas « une maladie », dites « ébola », « la peste » ; ne dites pas « le futur », dites « 2594 » ou le titre d'un film qui se rapporte à l'objet en question, etc, quelque chose de précis lié à ce que vous observez. Cette précision permet de solidifier le décalage entre ce que vous dites et la réalité accentuant alors l'effet comique.
Faites de l'autodérision, n'ayez pas peur de vous salir un peu, vous êtes un humain normal après tout. La personne que vous connaissez le mieux, c'est vous, quoi de mieux qu'un sujet que vous connaissez bien pour générer de l'humour ! Ça montre que vous n'avez pas la grosse tête et que vous avez confiance en vous au point de rire de vous-même.
Sachez aussi manier les silences dans vos blagues ou dans vos histoires. Un bon storytelling avec une petite dose d'humour est très efficace.
Faites-vous confiance et laissez votre imagination vous guider, n'y réfléchissez pas trop, si rien ne vient, tant pis ! Même si vous n'êtes pas la plus drôle des personnes, sachez que celle qui met de l'humour dans ses paroles devient tout de suite plus attrayante.
Regardez des one man show, des sketchs, etc, ça peut vous nourrir. L'humour est une priorité en terme de connexion avec autrui.
-Être intéressé, travailler sa tchatch. Ayez des trucs à dire, ne soyez être une coquille vide. La tchatche, ça vient surtout d'un intérêt pour le monde qui vous entoure. Soyez donc intéressé avant d'être intéressant. Vous pourrez de la sorte alimenter votre humour et vos discussions en détails et en digressions. Aussi, concernant la tchatche, il s'agit vraiment d'être à l'aise avec vous-même, de s'assumer dans son entièreté et de ne pas craindre la peur d'être jugé négativement. Acceptez vos défauts, le fait que vous puissiez vous tromper ou dire une bêtise sans pour autant vous « maltraiter » après coup. Encore une fois, dites-vous, dans le cas où vous voulez séduire une fille, par exemple, que vous saurez passer à autre chose même si celle-ci n'accroche pas. S'il y a une accroche, le flot passera laissant alors la tchatche venir sans que vous n'y pensiez vraiment. Ne réfléchissez pas trop à ce que vous allez dire, vous êtes à l'aise, vous vous assumez, laissez votre créativité s'exprimer. Puis si vous faites une gaffe, vous apprendrez de celle-ci. Repensez à tous ces moments gênants datant d'il y a quelques années ? Vous affectent-ils vraiment autant qu'au moment où ils se sont produits ? Parfois on fait des erreurs, parfois l'interlocuteur n'est juste pas réceptif à notre personnalité. À vous d'analyser l'événement en question et de voir si vous pouvez en apprendre quelque chose. Voyez les échecs comme une leçon à apprendre plutôt qu'une confirmation de votre "infériorité". La grande majorité des personnes que nous croisons dans la vie s'en foute de nous et de notre vie, tout comme nous n'en avons pas grand-chose à foutre de la grande majorité des personnes que nous croisons dans la vie. Vous avez oublié la grande majorité, la grande majorité vous a oublié.
-Aller dans plusieurs lieux lors d'un rdv (différents c'est mieux) > un peu comme une bonne histoire, une aventure, on change de lieux, ça crée de l'émotion, bonne façon de créer de nouvelles interactions etc.
Note 1 : Même si le but n'est pas de flirter, il faut retenir qu'on est là pour faire ressentir des émotions positives à la personne > Exemple : leur donner un sentiment d'importance en les écoutant, en montrant que leur opinion vous intéresse, que la personne existe tout simplement ; les gens sont plus intéressés par eux-mêmes que par vous. C'est à votre avantage, on apprend toujours plus en écoutant les autres qu'en s'écoutant soi-même. Si vous montrez que vous êtes quelqu'un de confiant, alors votre attention envers eux leur sera d'autant plus gratifiante.
La confiance en soi, je pense que vous l'avez compris, ce n'est pas être assuré que tout va bien se passer, c'est être assuré que si quelque chose se passe mal, ou juste pas comme prévu, vous saurez l'encaisser et vous redresser ; c'est pour ça qu'il faut s'entraîner sur chacun des points à la fois et apprécier le risque; le storytelling, l'humour, l'écoute, le eye contact, ça demande de l'entraînement, et donc des échecs. Rater une blague, ça arrive, c'est normal, ne craignez pas d'être gênant de temps en temps. On apprend toujours de ses échecs. Je reviens à cette idée d'investissement court-terme et long-terme : dans notre cas, le court-terme, c'est éviter toutes les situations dérangeantes au sens le plus large pour ne pas être bousculé dans son confort, le long-terme, c'est investir de son estime de soi, prendre le risque de se faire mal, de se taper la honte, pour atteindre ses objectifs, et ensuite devenir une personne plus grande, mature, expérimentée.
note 2 : Une solution pour avoir plus confiance en vous est de se dire que les gens autour ne savent rien, dans le sens où tout ce qui est à la base de nos croyances est relatif. Nous naissons dans un monde vieux de millions d'années sans l'avoir choisi, emprisonné dans un corps limité par ses sens et qui nous donne une perception transformée/infime de ce qu'est la réalité. La personne sage pose des questions, essaye de découvrir quelle forme a votre réalité tout en gardant à l'esprit que vous n'avez pas choisi d'être ce que vous êtes. Nous sommes des nourrissons jetés dans une arène ; prenez la position de celui qui cherche à grandir et à faire grandir les autres pour voir au-dessus des murs. Celui qui juge et méprise n'est qu'un enfant dont la phase de maturité est bloquée ; se laisser blesser par les personnes qui ont cette démarche est insensé. Si vous êtes victime de condescendance malgré votre désir d'apprendre, soupirez, souriez, et passez à autre chose. Ne prenez pas trop à cœur les invectives à votre égard ; si certains se sentent obligés d'être blessant sans que cela ne soit justifié, c'est souvent à l'intérieur d'eux que le problème se situe. Vous avez mieux à faire ailleurs. C'est justement en donnant de l'importance aux autres qu'ils se sentiront grandir, qu'ils se sentiront exister dans cette arène : une chose que peu de personnes sont capables de faire. Dans cette arène, il y a d'abord ceux qui consomment le bonheur, puis ceux qui savent aussi en donner. Il y a ceux qui se cachent les yeux pour oublier les murs et ceux qui cherchent à voir au-dessus. Vous pouvez donc conforter les aveugles dans leur cécité afin qu'ils se persuadent eux-mêmes qu'ils voient au-dessus des murs, mais n'oubliez jamais que celui que les gens suivront sera toujours celui qui essayera de faire grandir les autres tout en essayant de grandir des autres.
Note 3 : Si vous n'avez pas confiance en vous à cause de votre physique, voici un autre conseil. Imaginez une personne (de votre entourage par exemple) que vous ne jugez pas séduisante physiquement et mentalement, mais avec les points de cette liste, avec cette caractéristique compréhensive, relâchée, bienveillante et fun > normalement cette personne devient tout de suite plus attrayante et belle. Cela peut vous permettre d'outrepasser vos blocages personnels. Ce qui est important, c'est l'aura que vous renvoyez. Même si le physique est la première image qu'ont les autres de vous, votre charme (ou non-charme) peut vite renverser la donne. Comme tout le monde, je juge dans un premier temps la personne sur son physique, c'est inconscient, je vais établir une image préconçue de ce qu'elle est. Parfois, certains ne sont pas très séduisants physiquement mais, lorsque je discute avec et que je rencontre leur identité, je découvre une personne parfaitement charmante et donc attirante : rien à voir avec la perception que je me faisais d'elle a priori. J'ai vu des personnes séduire sans avoir le physique supposément associé à la personne qui plaît. C'est pour ça que j'ai préféré ne pas développer un point autour de l'apparence même si celle-ci a son intérêt. La carte de visite peut faire venir les clients, certes, mais n'oubliez pas que c'est ce qui se trouve à l'intérieur du magasin qui les fait rester.
Aussi, arrêtez de regarder des vidéos sur ce qu'est un mâle alpha : grande gueule, gros muscle, gros ego > c'est typiquement le genre de mec qui a besoin de compenser ses insécurités en exagérant ces traits dis "masculins". Barack Obama jouit d'une image très positive malgré certaines de ses décisions politiques controversées, et il n'a pas eu besoin de montrer que c'était lui le plus fort. Les vrais mâles alpha, si tant est qu'ils existent, ne pensent même pas à ça, ils créent l'harmonie dans le groupe, s'en soucient, l'écoutent et savent le défendre. Inspirer la peur et le conflit ne vous amènera que très peu d'amis.
Note 4 : L'idée ici n'est pas de faire vous une machine de guerre anti-stress ultra-confiante ultra-séduisante, juste de vous aider à mieux interagir avec les autres ainsi qu'avec vous-même et surtout, de savoir mettre de côté les futilités non-nécessaires à votre bien-être. Comprenez les masques que vous portez, vous gagnerez à en faire tomber certains. Certaines personnes penchent naturellement vers l'extraversion, d'autres vers l'introversion : la timidité touche les deux penchants. Introversion n'est pas synonyme de timidité. L'introversion signifie simplement que vous êtes plus poussé vers votre monde intérieur, que vous vous ressourcez seul alors que les extravertis ont besoin d'un aspect social fort dans leur vie. Vous pouvez très bien être confiant, être drôle, enjoué, etc. en étant introverti et en préférant les interactions à deux qu'à celles en groupe.
Ce ''guide'' peut donner l'idée que je suis quelqu'un de parfaitement à l'aise, charismatique et confiant, pour autant, certains des points évoqués entrent en contradictions avec beaucoup de mes comportements quotidiens. Il s'agit juste d'un repère, de choses que j'ai observées, mais en aucun cas un ajout aux dix commandements qu'a reçu Moïse de Dieu. Ne cherchez pas à tout bien faire : essayez, posez-vous des questions, regardez ce qui fonctionne pour vous. Il m'arrive aussi d'être muet comme une tombe simplement par manque d'énergie alors qu'un comportement enjoué, blagueur, etc. me ferait apparaître beaucoup plus attrayant. Parfois je suis stressé, parfois je pense un peu trop à ce que mon interlocuteur va penser de moi, parfois je n'ai juste pas l'énergie pour l'écouter. C'est normal ! Inutile de se forcer, n’ayez pas peur de vous donner la priorité. J'ai simplement relativisé beaucoup d'idées préconçues que j'avais sur moi et sur le monde. Encore une fois, sachez simplement repérer et mettre de côté les futilités non-nécessaires à votre bien-être qu'il s'agisse de personnes dans votre entourage, ou d'un regard sur les choses de la vie.

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